Quatrième année consécutive, quatrième acte d’un partenariat qui mêle cinéma, mixologie et élégance à l’italienne. Du 13 au 24 mai 2025, Campari France s’installe de nouveau à Cannes en tant que Fournisseur Officiel du Festival. Une présence qui ne se contente pas de servir des cocktails bien dosés : elle raconte une histoire. Celle d’un bitter devenu icône, à la croisée de l’art, du design et de l’hospitalité contemporaine.
Une tradition de style et de cinéma
La relation entre Campari et le 7e art ne date pas d’hier. Fellini en 1984, Sorrentino plus récemment, sans oublier les courts-métrages artistiques produits sous l’égide de la marque… Campari a toujours su jouer avec les codes du cinéma d’auteur pour renforcer son aura culturelle. Cannes, en cela, est un écrin naturel. Sur la Croisette, le bitter rouge incarne une certaine idée de l’élégance méditerranéenne — solaire, intense, un brin théâtrale.
Deux adresses, deux ambiances
D’un côté, la plage Campari, posée sur le sable de la Hyde Beach, comme un salon à ciel ouvert. Pensé dans une esthétique méditerranéenne soignée, le lieu s’adresse aux visiteurs et aux festivaliers en quête de fraîcheur et de design. Cocktails iconiques — à commencer par le Campari Spritz —, DJ sets, happenings : l’esprit y est plus chill que corporate, mais toujours très maîtrisé.

À quelques mètres de là, dans les hauteurs feutrées du Palais des Festivals, le Campari Lounge cultive la discrétion. Accessible uniquement sur invitation, ce salon confidentiel offre une vue spectaculaire sur le tapis rouge et accueille les moments clés du festival : rencontres institutionnelles, rendez-vous presse, discussions privées. On y déguste un Negroni revisité, infusé à l’hibiscus, enrichi de vermouth au chocolat amer et d’un trait de Courvoisier VSOP. Un clin d’œil raffiné à la tradition, signé Camparino, le bar milanais historique de la marque.
Plus qu’un apéritif, un art de vivre
Campari, c’est aujourd’hui une griffe de l’art de vivre international. Elle navigue entre héritage et avant-garde, avec une aisance déconcertante. À Cannes, la marque ne se contente pas d’apparaître. Elle installe son univers, soigne son storytelling, invite à une expérience où l’amertume devient plaisir, et la dégustation un moment de cinéma.
Une belle manière de rappeler que dans le monde du cocktail comme dans celui du 7e art, la véritable signature ne tient pas au geste technique, mais à l’émotion qu’on laisse derrière soi.
