Quand la petite balle jaune rencontre l’art de vivre à la parisienne, cela donne une expérience singulière, pensée pour les esthètes du sport et les amoureux de l’élégance. À l’occasion de Roland-Garros, le Royal Monceau – Raffles Paris dévoile Royal Tennis, une parenthèse ultra-selective dans l’un des hôtels les plus iconiques de la capitale.
Une offre taillée sur mesure pour les passionnés exigeants
Le principe : conjuguer la passion du tennis avec un séjour d’exception au cœur du 8e arrondissement, à deux pas de l’Arc de Triomphe. L’expérience commence dans l’une des chambres ou suites signées Philippe Starck, véritables cocons de design et de lumière, avant de se poursuivre au restaurant La Cuisine pour un petit déjeuner raffiné.
Moment phare : un Meet & Greet exclusif le 22 mai avec quatre stars du circuit mondial – Aryna Sabalenka, Frances Tiafoe, Stefanos Tsitsipas et Ons Jabeur – autour d’un apéritif au Bar Long. À la clé, une raquette signée par le joueur de votre choix. De quoi ravir les collectionneurs et créer des souvenirs rares.
Détente et raffinement
À l’écart du tumulte des gradins, les hôtes peuvent se ressourcer au Raffles Spa & Wellness, véritable sanctuaire baigné de lumière naturelle, ou profiter d’amenities spécialement imaginés pour l’événement.
Pour les non-résidents, quelques accès très limités au Meet & Greet sont disponibles sur réservation (280 €). Quant au package complet, il débute à 2 080 €, avec un minimum de deux nuits. L’expérience est disponible uniquement pour les séjours incluant la nuit du 22 mai.
L’art de vivre selon le Royal Monceau
Écrin de l’élégance parisienne depuis les années 1920, le Royal Monceau cultive un esprit à part : arty, audacieux, intensément vivant. Cinéma privé, Art Concierge, restaurants d’exception, bibliothèque d’art et même une galerie intégrée… L’hôtel ne se contente pas d’être un simple lieu de séjour. Il incarne un lifestyle.
Avec Royal Tennis, le palace ajoute une corde à sa raquette : celle du sport de haut niveau célébré dans un écrin de raffinement. Et confirme, une fois encore, qu’à Paris, le luxe ne se vit jamais tout à fait comme ailleurs.
Luxe in the city 