À la croisée de la littérature, de l’art, du cinéma et bien sûr de la mode, le nouveau Spécial Mode de Madame Figaro consacre son édition de rentrée à la puissance féminine. Plus qu’un numéro de tendances, c’est une véritable ode à l’affirmation de soi, portée par des voix inspirantes et des regards engagés.
Littérature, cinéma, photographie : un chœur de voix féminines
Pour ce numéro, le magazine confie sa plume à des romancières telles que Maria Pourchet et Sarah Chiche, qui explorent la modernité au féminin, ses ambiguïtés et ses désirs. Le portrait de l’actrice Golshifteh Farahani, présidente du jury au Festival du Film Américain de Deauville, illustre cette liberté conquise au prix de l’exil. Plus loin, les photographies des artistes kényanes Joan Otieno et Thandiwe Muriu mettent en lumière les voix émergentes du continent africain, entre mémoire, identité et puissance visuelle.
La mode, miroir d’une époque
Côté style, la rentrée se veut audacieuse et affranchie. Retour des imprimés animaliers (zèbre, léopard, tigre), rouge éclatant et conquérant, silhouettes XXL qui imposent leur présence : la saison se place sous le signe de l’affirmation. Un vestiaire pensé pour celles qui assument, revendiquent et osent.
Entre mémoire et futur
À l’approche de la Fashion Week parisienne, une enquête inédite revient sur 150 ans de journalisme de mode, rendant hommage aux plumes pionnières telles que Hebe Dorsey, Etta Froio ou Bridget Foley. En parallèle, le dossier s’interroge sur l’impact de l’intelligence artificielle dans la création, le rôle des réseaux sociaux dans la réinvention des carrières et la montée en puissance d’un « midlife glow » qui redéfinit l’âge et la beauté.
Un manifeste de rentrée
Avec ses 260 pages, ce Spécial Mode prend des allures de manifeste. En filigrane, un message clair : la puissance féminine se déploie dans tous les champs — culturels, créatifs, sociaux. Plus qu’une tendance, un état d’esprit.
Disponible en kiosque, au prix de 3,90 € (ou 4,90 € avec un masque capillaire Wella), ce numéro invite à penser la mode comme un langage global, reflet d’une époque qui célèbre l’audace et la liberté.
Luxe in the city 